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(Reseauinternational)Quand la Chine éternue

 (Reseauinternational)Quand la Chine éternue

Les livres conspirationnistes sur le COVID de James Perloff et Greg Felton valent vraiment la peine d’être lus. Mais la meilleure et la plus complète enquête en un seul volume sur ce qu’est réellement le COVID-19 et d’où il vient est le recueil d’articles compilé par Cynthia McKinney, « When China Sneezes » (qui aurait dû s’intituler When DARPA Sneezes) [« Quand la Chine éternue ». DARPA : Defense Advanced Research Projects Agency]

L’ancienne députée (qui a été  élue pour six mandats) et candidate à la présidence du Parti vert, Cynthia McKinney, et certains des autres contributeurs ont passé la fin du mois de décembre 2019 et la première moitié du mois de janvier 2020 à parcourir la Chine dans le cadre d’un voyage d’enquête, prenant l’avion quelques jours seulement avant le verrouillage mondial sans précédent. Leur mission initiale était d’enquêter sur les allégations de mauvais traitements infligés aux musulmans chinois. Mais l’explosion soudaine de la pandémie de COVID-19 a changé la donne.

Le résultat est un livre qui pourrait changer l’histoire et qui, avec les écrits de Ron Unz sur le sujet, devrait convaincre toute personne rationnelle que le COVID-19 est probablement le résultat d’une guerre biologique menée contre la Chine et l’Iran par les néoconservateurs américains. Le livre de McKinney présente certaines des sources clés qui ont été les premières à alerter les lecteurs et les auteurs de la Unz Review, dont votre serviteur, sur l’hypothèse de la guerre biologique :

• Jeff Brown (qui est venu dans mon émission du 8 février 2020 pour déclarer que le COVID était une guerre biologique contre la Chine) fournit des éléments d’introduction sur le SRAS-CoV2 et la guerre biologique ;

• Larry Romanoff et un écrivain chinois anonyme (dans un essai bilingue) décrivent comment la Chine, consciente d’avoir été l’objet d’attaques biologiques depuis des décennies, a mis en place l’effort de biodéfense le plus important et le plus réussi de l’histoire ;

• Michael Hudson et Peter Koenig expliquent pourquoi les oligarques occidentaux craignent tellement le système bancaire public chinois qu’on peut s’attendre à ce qu’ils s’engagent dans des agressions à haut risque, y compris la guerre biologique ;

• William Robinson ajoute des raisons de croire qu’une telle agression ultra-risquée a un sens dans le contexte de la crise financière de l’Occident ;

• Whitney Webb met au jour les liens entre la DARPA, le COVID-19 et les vaccins qui ont très certainement été développés en même temps que le virus lui-même ;

• Claudio Peretti explique que la guerre biologique est une guerre économique et que les oligarques occidentaux avaient les moyens, le motif et l’opportunité de déclencher le COVID ;

• Cynthia McKinney explique pourquoi le contexte historique indique une origine américaine et israélienne de la guerre biologique, en mettant l’accent sur le potentiel ethnique spécifique des coronavirus du SRAS (et peut-être des vaccins mortels similaires) ;

• Gary Barnett ajoute encore plus de contexte historique, en expliquant pourquoi « les États-Unis sont l’ennemi du monde en matière de guerre biologique » ;

• Helen Buyniski (de False Flag Weekly News) suggère que la dystopie engendrée par le COVID est intentionnelle et non accidentelle.

• Alfred Zayas suggère que le remède à la dystopie du COVID serait une conférence mondiale sur le rétablissement du COVID qui mettrait l’accent sur la préservation et l’extension des droits de l’homme.

Depuis la publication de When China Sneezes, Cynthia McKinney s’est montrée encore plus méfiante à l’égard des composants éventuellement spécifiques à une ethnie des coronavirus du SRAS utilisés comme armes biologiques. Elle cite l’article intitulé « New insights into genetic susceptibility of COVID-19 : an ACE2 and TMPRSS2 polymorphism analysis », qui indique que « le COVID-19 est étrangement un virus de la grippe aviaire :

« Le COVID-19 est étrangement et tragiquement sélectif… Cette étude suggère que les polymorphismes de l’ADN de l’ACE2 ou du TMPRSS2 sont probablement associés à la susceptibilité génétique du COVID-19… Nous avons constaté que la distribution des variants délétères de l’ACE2 diffère parmi les 9 populations de gnomAD (v3). Plus précisément, 39% (24/61) et 54% (33/61) des variants délétères de l’ACE2 apparaissent dans les populations africaines/afro-américaines (AFR) et européennes non finlandaises (EUR), respectivement (Fig. 1 b). La prévalence des variants délétères parmi les populations latino/mixtes américaines (AMR), est-asiatiques (EAS), finlandaises (FIN) et sud-asiatiques (SAS) est de 2 à 10%, tandis que les populations amish (AMI) et juives ashkénazes (ASJ) ne semblent pas porter de tels variants dans les régions codantes de l’ACE2 (Fig. 1b). » (c’est moi qui souligne -KB)

Étant donné que les Amish constituent près de la moitié de l’oligarchie milliardaire de l’Occident, qu’ils sont surreprésentés dans la R&D en matière de guerre biologique, qu’ils dominent le mouvement néoconservateur et qu’ils nourrissent depuis longtemps un désir messianique-millénariste d’annihilation/de soumission de toutes les autres tribus, le fait qu’ils soient apparemment totalement exempts du facteur génétique clé qui sous-tend la vulnérabilité au COVID-19 en fait des suspects évidents dans ce drame criminel mondial. Alors… méfiez-vous des fermiers barbus portant un chapeau de paille et roulant en charrettes, qui vous soufflent des bises dans des éprouvettes !


source : https://www.unz.com

houssainatou

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