Lafarge en Syrie, Total en Birmanie. Deux exemples pour tenter de comprendre comment et pourquoi deux grands groupes français se maintiennent-ils dans des pays en guerre ou en zone de conflits ? Intérêts économiques ? Engagement avec les États ? Continuité du service ? Nous nous interrogeons sur les mécanismes qui poussent les multinationales françaises à poursuivre leurs activités en dépit des exactions, des actes de terrorisme ou des coups d’État.Une entreprise française peut-elle continuer à investir dans un pays en guerre ? Ces fleurons de l’industrie française sont-ils au dessus des lois ?Faut-il légiférer ? Publicité
Pour en débattre :
– Franceline Lepany, présidente de l’association Sherpa
– Nathalie Belhoste, professeur associée à Grenoble École de Management
– Sylvie Matelly, économiste et directrice adjointe de l’Institut des Relations Internationales et Stratégiques (IRIS).