l'infos du monde de dernières minutes 7j/7

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(Reseauinternational)Faut-il destituer le président ?

 (Reseauinternational)Faut-il destituer le président ?

« Toute l’allocution de #Macron20h est une provocation. Elle confirme mes propos mystérieux des 4 décembre et 3 juin. L’oligarchie qui « tient » Macron lui a donné son ultime feuille de route avant qu’il ne soit exfiltré de l’Élysée en 2022 comme prévu » ~ François Asselineau

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Le discours présidentiel de ce lundi 12 juillet 2021 est clair, c’est un appel à la guerre contre le peuple français. Macron n’a pas hésité à annoncer le programme proposé par l’oligarchie et le discours des Mondialistes pour asservir les peuples. La dictature est en marche et la France est en tête, exécutant les ordres de la Cabale ! Les acquis sociaux seront bafoués et la tyrannie sanitaire accentuée.

Dans un article paru sur le site de France-soirl’artiste Francis Lalanne avait lancé un « appel à la mobilisation générale du peuple français contre la tyrannie« , estimant que « le gouvernement est en train de commettre insidieusement un coup d’État au nom de la Covid« . Dans une longue tribune, le chanteur avait déclaré :

« Le chef de l’État et son gouvernement s’essuient les pieds sur le Droit républicain comme sur un paillasson ». Francis Lalanne dénonce « la criminalisation permanente des individus« , la « pérennisation » de l’état « d’urgence sanitaire », les privations de libertés … Il se base sur plusieurs textes fondateurs, comme la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 et la Constitution, pour considérer que « la République est […] frappée de caducité ; annulée par l’exercice totalitaire du pouvoir que pratique l’Exécutif » et qu’il est par conséquent « du droit constitutionnel du peuple français, donc de son devoir, de ‘résister à l’oppression’ par une désobéissance civique ».

Juste après le discours présidentiel, François Asselineau (UPR) a Tweeté :

« Toute l’allocution de #Macron20h est une provocation. Elle confirme mes propos mystérieux des 4 décembre et 3 juin. L’oligarchie qui « tient » Macron lui a donné son ultime feuille de route avant qu’il ne soit exfiltré de l’Élysée en 2022 comme prévu. 

Ce qui est ahurissant avec #Macron20h, c’est que tout, absolument tout ce qu’il dit, est le contraire exact de la vérité ».

Violation du Code de Nuremberg, de l’arrêt de la Cour européenne des Droits de l’Homme rendu en 2002, précisant « qu’en tant que traitement médical non volontaire, la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée, garanti par l’article 8 de la Convention européenne des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales » (Arrêt SALVETTI c/Italie – CEDH Décision du 9 juillet 2002 ; n° 42197/98)

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Nous reprenons ici une partie de mon article paru récemment sur Médiazone évoquant la légitimité du Pouvoir : 

La légitimité du Pouvoir 

L’autorité a pour mission propre de procurer le bien de la société. Si l’autorité faillit à cette mission, elle perd non seulement le droit de commander, mais encore sa raison d’exister. Le gouvernement qui œuvre à l’encontre du bien commun, n’est plus légitime, même s’il est légal. La souveraineté appartient concrètement à celui qui est capable de s’en emparer et de l’exercer.

La perte de la légitimité 

Si un gouvernement d’abord illégitime peut devenir par la suite légitime en raison du bien qu’il accomplît ; a contrario, un gouvernement d’abord légitime peut devenir illégitime en raison du mal qu’il fait. Car seul celui qui gouverne en vue du bien commun a un droit véritable et absolu de commander, entraînant ainsi pour les citoyens un authentique devoir d’obéir. Un gouvernement peut être légal, conforme à une constitution, sans pour autant être légitime, soit parce qu’il n’est qu’un gouvernement de fait, soit parce qu’il est injuste et tyrannique. Un pouvoir tyrannique perd donc sa légitimité parce qu’il abuse du pouvoir ; il gouverne en sa faveur ou en faveur d’un petit nombre et non plus au profit du bien commun. La Nation a le droit de « destituer », de « déposer », de « chasser » un Pouvoir illégitime. Mais pour en venir à cette extrémité, il faut que l’abus soit non seulement grave, mais permanent et universel. Un excès de pouvoir passager, quelques lois contre le bien commun dispenseraient seulement les sujets de l’obéissance sur ces points particuliers, mais n’ôteraient point au Gouvernant sa légitimité, si dans l’ensemble, il continuait à remplir sa mission : assurer la vie et le salut de la Nation. (Magnin, L’État, conception païenne, conception chrétienne, Paris, 1931, p. 127)

La résistance au pouvoir illégitime 

Au Moyen Âge, le droit de Révolte était inscrit dans certaines Chartes : le peuple avait le Droit de se soulever, même à main armée, si le gouvernant n’accomplissait pas les obligations auxquelles il s’était astreint par serment. La souveraineté du Pouvoir n’est pas un pouvoir illimité. Quand l’Autorité excède ses droits et abuse de son autorité, elle abdique son rôle de gouvernance.

Résistance passive qui consiste à ne pas obtempérer aux injonctions tyranniques du gouvernant ou aux prescriptions d’une loi injuste.

Résistance active légale qui consiste à poursuivre l’abrogation de décrets injustes ou l’aboutissement de réformes jugées indispensables, au besoin même le changement de gouvernement (Recours à une juridiction suprême, appel à l’opinion…)

Résistance active illégale qui consiste en l’emploi, contre les gouvernants, de tous les moyens de pression, même des « Forces armées », pour les ramener au droit ou pour s’opposer à l’exécution d’un ordre inique (grève générale, refus de payer l’impôt, désobéissance civique, etc..).

Le Tyran 

Dans ce mot, on distingue entre le « Tyran d’usurpation » qui n’est qu’injuste agresseur d’un pouvoir légitime et le « Tyran de gouvernement » qui, bien que souverain légitime, abuse de son autorité en opprimant les sujets, soit à son profit, soit au profit d’une coterie, sans égard pour le bien commun dont il a la charge.

« Tyran d’usurpation » : Le « Tyran d’usurpation » occupe la place du chef, mais en réalité, il n’en est que l’ombre.

« Tyran de gouvernement » : Le cas du « Tyran de gouvernement » est beaucoup plus fréquent que celui d’usurpation. (se référer plus haut à « La légitimité du pouvoir » .

Définition d’un Tyran au XXIe siècle 

Un Tyran est un Gouvernant arrivé au pouvoir grâce à la propagande de médias aux mains d’une mafia supranationale dans le but de servir les intérêts criminels de cette mafia. Et qui, malgré cette manipulation de masse, n’arrive à obtenir que le consentement d’1/6e de la population. Qui, pour se maintenir en place, engage une féroce répression contre le peuple et donne ordre à ses gardes de le frapper sauvagement jusqu’à couper des mains et à arracher des yeux. Que, dans le même but, ce Gouvernant, de plus en plus contesté, mette en place un arsenal législatif liberticide pour censurer tout propos critique ou gênant au nom d’une prétendue fausse nouvelle ou d’une incitation à une haine jamais définie. Que ce même Gouvernant, afin de réduire à néant les libertés civiques les plus élémentaires, prépare un système de surveillance généralisée de la population en maîtrisant toutes les données de la vie des citoyens, données centralisées dans une simple puce grâce à laquelle le pouvoir pourra, de manière arbitraire, exclure de la vie sociale tout opposant au nouvel ordre mondial.

Ce même Gouvernant, pour favoriser la mafia qui l’a mis au pouvoir, brade à des intérêts privés et étrangers les biens de la nation et des entreprises stratégiques. Que ce même Gouvernant autorise et organise par ailleurs le pillage de l’épargne et de la retraite du peuple au profit de fonds d’investissement privés et spécialisés dans la spéculation et l’usure.

Ce même Gouvernant, aux ordres d’une minorité apatride et cosmopolite, après avoir usé d’informations mensongères fondées sur des chiffres falsifiés et manipulés, décide la séquestration du peuple tout entier en l’assignant à résidence, en imposant ainsi une torture psychologique de masses comparable au traitement que l’on inflige dans le système carcéral aux criminels les plus dangereux, entraînant des dommages irréversibles dans le cerveau, des dépressions et des suicides, plongeant aussi dans la ruine et la faillite, et ce pour le plus grand bénéfice des multinationales et de la finance internationale, des centaines de milliers de personnes, privées de leur droit au travail.

Ce même Gouvernant agresse non seulement la nation mais aussi chacun de ses membres dans leur intégrité corporelle par l’imposition d’« Injections » inutiles et dangereuses. Ce pouvoir invoque, faussement l’urgence sanitaire, interdit des médicaments, peu coûteux et ayant fait leurs preuves durant de longues années, en les classant indûment dans la catégorie de substances vénéneuses.

Ce même Gouvernant, outre piller les richesses nationales, agresse les particuliers en les accablant de charges et de taxes qui peuvent représenter jusqu’à plus de la moitié du fruit de leur travail obtenu par la sueur. Que ce même Gouvernant favorise le vol en bande organisée à grande échelle dans le système social et fiscal permettant aux grands banquiers, à l’aide d’un montage comptable opaque, de voler en toute discrétion des milliards dans les dépôts bancaires et les cotisations sociales.

Ce même Gouvernant agresse les citoyens, non seulement dans leurs corps et leurs biens, mais encore dans leurs âmes en promouvant officiellement et légalement les pires perversions telles que : marchandisation de l’être humain, assassinat de l’enfant à naître, légalisation de l’euthanasie, perversion en tout genre, union contre-nature, laïcité maçonnique… Autant d’idéologies contraires au bien commun qui détruisent toute justice et toute vérité et dont les pratiques immorales déposent dans le cœur du peuple la semence de l’apostasie la plus radicale de la nature.


source : https://mediazone.zonefr.com

houssainatou

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