Il est à noter que les autres bâtiments de la Force de frappe britannique sont également touchés. À moins que notre malicieux virus polymorphe ne soit doté de petites ailes pour virevolter de bateau en bateau pour aller taquiner les marins de Her Majesty, ou qu’il soit doué de capacités quantiques lui permettant de se trouver à plusieurs endroits à la fois, il ne reste plus beaucoup d’options pour expliquer l’apparition des cas de Covid dans la flotte britannique, et ce au même moment. Il sera très difficile de faire appel à l’option des pangolins, des chauve-souris ou des visons clandestins comme vecteurs de contagion.
En fait cet épisode semble démonter qu’il n’a pas pu y avoir propagation par contagion, que ce « virus » n’est pas un agent externe. Cela veut dire que nous avons encore beaucoup à apprendre sur les virus ~ RI
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Malgré le fait que tout l’équipage ait été testé négatif et était pleinement vacciné avant le départ, le virus est apparu mystérieusement. De mauvaises langues pourraient suggérer que la vaccination n’est pas étrangère à l’apparition du virus.
Avia.pro nous donne plus de détails :
La poursuite de la mission du porte-avions britannique Queen Elizabeth et du groupe de frappe qui l’accompagne est menacée en raison du fait que plus d’une centaine de cas actifs de coronavirus ont été détectés à bord du porte-avions au cours des dernières 48 heures. Une forte augmentation des infections pourrait conduire au fait que d’ici la fin de la semaine, jusqu’à 50% de l’équipage du porte-avions pourrait être infecté par le coronavirus, malgré les déclarations du Ministère britannique de la Défense selon lesquelles la situation est déjà sous contrôle.
« La BBC a rapporté que le porte-avions avait enregistré environ 100 cas d’infection. Plusieurs autres navires de la flotte d’accompagnement ont également souffert. Le secrétaire à la Défense Ben Wallace a déclaré que tout l’équipage du déploiement avait reçu deux doses du vaccin Covid-19 et que l’épidémie était sous contrôle. Le porte-avions HMS Queen Elizabeth a parcouru environ un quart du trajet au cours de sa mission de 28 semaines, à la tête du Aircraft Carrier Strike Group (AUG). Maintenant, il est entré dans l’océan Indien. La Royal Navy dit qu’elle devrait poursuivre son voyage vers le Japon plus tard cette année », dit la BBC.
Les experts notent qu’en raison de restrictions sanitaires insuffisantes, il en a découlé un risque non seulement que la situation à bord s’aggrave fortement, mais que les premières victimes puissent apparaître. Soit dit en passant, à ce jour, le Royaume-Uni n’a pas été en mesure de contrôler l’infection. À bord du porte-avions, des restrictions sévères à la lutte contre le coronavirus ont été adoptées.
envoyé par oceky
