Fascinant de voir les « particularismes locaux » sous-jacents, dans le grand œuvre global des covidéments.

France ? Pays jacobin, centralisateur dans l’âme, amoureux de la mystique du « grand homme »… Ça donne Macron et son obligation vaccinale.

C’est le fameux « Tadjikistan » annoncé par certains covirebelles bas de plafond.

La notion – aussi idiote que faussement rassurante – que la France serait une exception, que la personnalité de Macron expliquerait ses actions.

Mais les États-Unis… sont beaucoup plus complexes… Plus délicat à la manœuvre (on l’a vu avec le psychodrame insensé entre 2016 et 2020 avec Trump). La structure fédérale et la taille n’arrangent rien.

Voilà pourquoi les forces covidémentes américaines avancent sur trois fronts :

– le fédéral. C’est la loque Biden qui annonce la vaccination obligatoire pour les fonctionnaires fédéraux (lire ici). Avant d’imposer la même chose aux forces armées… Facile à faire. Peu de gens en définitive, mais une force de « démonstration ». Un effet d’entraînement.

– le local : au niveau des états et des municipalités. Tous les États démocrates, c’est-à-dire gauchisants… sont alignés, et facilitent le travail de sape. C’est par exemple le maire de New-York qui annonce la vaccination obligatoire pour les personnels de santé et les fonctionnaires de la ville. Là encore, c’est assez facile à faire.

– le privé : les entreprises. C’est là le gros morceau en réalité.

Sur les trois niveaux, la même technique : avancer par petits pas. De nombreux Américains ne supporteraient pas des attaques frontales… d’autant que des millions d’entre-eux sont armés jusqu’aux dents (d’où l’obsession des forces gauchistes globalistes…. pour désarmer ces gens, briser le second amendement de la Constitution, et corrompre la Cour suprême).

La privatisation du passe vaccinal, voilà le véritable enjeu, le véritable levier outre-Atlantique. Car… c’est légal. Un employeur peut imposer ce genre de conditions…

Ici, l’idée est de commencer par les grands groupes globalistes et covidéments. Pas besoin de chercher bien loin, ils ne se cachent pas, au contraire, revendiquent. C’est le wokisme en pleine action.

– Netflix impose le vaccin aux acteurs et équipes techniques des films qu’il produits. Parfaitement cohérent : Netflix depuis le début fait la promotion de séries et films avec avec une obsession pour l’idéologie transgenre et minoritaire. C’est leur truc.

– Google et Facebook, les Laurel et Hardy de l’idéologie covidémentielle. Vaccination obligatoire pour les employés, et recul de la date de retour des employés… dans les bureaux. Eh oui, le virus est tellement trop horrible que ces deux mastodondes américains vont dans le sens du vent. Là encore, l’idéologie.

– Et Microsoft ? Le géant logiciel ne pouvait pas ne pas être à l’avant-garde. Vaccination obligatoire pour ses employés (aux États-Unis uniquement).

– Amazon est plus prudent… se contente d’être devin et repousse ainsi le retour de ses employés dans les bureaux du  7 septembre… au 3 janvier 2022 ! Il est fort Bezos, il sait que la terrible pandémie va se poursuivre… jusqu’au 3 janvier donc.

– Tyson, le géant de l’agroalimentaire idem (120 000 employés !).

– United Airlines. Première compagnie aérienne US a imposer l’hostie couillonavirale… Le slogan ? No jab, no job. 67 000 employés. Pas mal.

– CNN, la gentille chaîne de TV woke par excellence, contre le réchauffement climatique, en faveur des minorités sexuelles et ethniques… n’est pas woke du tout avec ses propres employés. Trois d’entre-eux sont licenciés… car non vaccinés. Là, le wokisme ne tient plus. Là, crime suprême, donc peine capitale.

Et ensuite on peut ruisseler vers le bas. Ainsi des centaines de bars à San Francisco… réclament maintenant une preuve de vaccination ou un test négatif !

Aucune surprise : San Francisco est l’archétype de la ville gauchiste (là ou des milliers de toxicos vivent dans la déchéance la plus extrême, applaudis par les autorités municipales, et visiblement par les habitants puisque ces derniers votent en conséquence).

Un plan parfaitement orchestré donc… dont la finalité est partout  identique : injecter ces saloperies inutiles au plus grand nombre.

Ce n’est plus une politique sanitaire, c’est une obsession psychotique… qui cache donc des enjeux considérables, bien plus importants que les dividendes des actionnaires de Pfizer (ridicules dans le grand ordre financier des choses)…

Enfin, et c’est le coup de génie de la covidémence : profiter de l’opposition qu’elle génère !

Explication. La structure fédérale des USA… rend probable la rébellion de certains États (tous républicains bien entendu)… Ainsi la Floride, le Dakota du Sud ou le Texas eux votent des lois pour interdire l’obligation du masque ou de vaccination (visant les sociétés privées).

C’est à la fois une bonne chose – il faut bien sûr résister – mais hélas cela sert en même temps la covidémence.

Cette dernière fait tout pour polariser la société, partout. Vaccinés contre non-vaccinés.

C’est une formidable prise de judo mentale…

Voilà pourquoi Macron ne perd pas face aux grèves qui s’annoncent, aux manifs, aux difficultés d’application de sa loi, et aux futurs incidents (car il y en aura, c’est facile à prévoir).

Car l’hystérisation, l’antagonisation de la société servent le pouvoir.