l'infos du monde de dernières minutes 7j/7

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(rfi.fr)À la Une: aux États-Unis, polémique sur le port du masque à l’école

 (rfi.fr)À la Une: aux États-Unis, polémique sur le port du masque à l’école

La pandémie du Covid-19 continue à faire les gros titres aux États-Unis, notamment en Floride. La flambée de l’épidémie dans cet État du Sud provoque une polémique sur le port du masque à l’école. Au centre de cette polémique, le gouverneur républicain Ron DeSantis qui a interdit aux écoles d’imposer le port du masque. S’ils passent outre, le salaire des professeurs sera suspendu. Le Miami Herald, dans son éditorial, s’insurge contre la position du gouverneur et recommande aux parents d’écouter les autorités médicales. Selon le journal, certaines écoles ont décidé de « défier » Ron DeSantis et d’imposer, pour la rentrée fin août, le port du masque. Un exemple à suivre, conclut le Miami Herald

Gouvernement et opposition au Venezuela se retrouvent pour des pourparlers au Mexique

Le gouvernement chaviste et l’opposition se remettront à la table des négociations. C’est à la Une du journal El Nacional. La rencontre des deux délégations au Mexique se fera sous l’égide de la Norvège. C’est la troisième tentative de reprendre le dialogue et les attentes sont importantes, écrit El Nacional. Les deux parties ont des revendications bien spécifiques. On ne connaît pas encore le détail de leur agenda, mais d’après El Nacional, l’opposition souhaite obtenir des garanties sur le déroulement des législatives prévues fin novembre.

D’après l’ancien candidat à la présidentielle Henrique Capriles, cité par le journal mexicain El Espectador, les pourparlers aborderont aussi la question des prisonniers politiques. Le gouvernement de Nicolas Maduro, de son côté, demande la levée des sanctions imposées par les États-Unis et une « reconnaissance des autorités légitimes du Venezuela ». Jusqu’à présent, le dirigeant de l’opposition Juan Guaidó est reconnu comme président par interim par plusieurs pays occidentaux comme les États-Unis et la Colombie.

Levée d’immunité pour une députée brésilienne, accusée d’avoir commandité le meurtre de son mari

Au Brésil, une députée du Congrès fédéral a été démise de ses fonctions. Motif : elle est accusée d’avoir planifié l’assassinat de son mari, un pasteur évangélique. C’est un feuilleton que tous les Brésiliens ont suivi depuis des mois. Flordelis dos Santos, 60 ans, est devenue une star au Brésil même avant d’être élue au Parlement en 2018.  Ancienne chanteuse, surnommée la « mère des favelas » parce qu’elle a adopté 51 enfants des rues de Rio de Janeiro, sa vie a été portée à l’écran il y a plus de dix ans. Elle s’était mariée avec un de ses enfants adoptifs, Anderson do Carmo, devenu pasteur. Ensemble ils ont fondé une communauté évangélique.

Il y a deux ans, l’un des fils adoptifs du couple a tué le père. L’enquête a révélé que son épouse, Flordelis dos Santos, avait commandité l’assassinat. Plusieurs de ses enfants, adoptifs et biologiques, seraient aussi impliqués dans le meurtre du père. D’après le journal O Globo, c’est une « sale affaire » où s’entremêlent des disputes d’argent avec des accusations de violences sexuelles et des tentatives d’empoisonnement.

Grâce à son immunité parlementaire, la députée était restée en liberté, mais elle porte un bracelet électronique, précise O Globo. Commentaire de « Flordelis », comme tout le monde l’appelle, après le vote ce mercredi au Parlement qui lui a retiré son mandat : « Je sortirai d’ici la tête haute car je suis innocente. » 

Haïti : plusieurs juges voulaient enquêter sur l’assassinat de Jovenel Moïse

Concernant l’enquête sur l’assassinat de Jovenel Moïse, on apprend que plusieurs juges voulaient se saisir du dossier mais n’ont pas été choisis. C’est à la Une du site d’information Ayibopost. Selon le journal en ligne qui s’appuie sur des sources judiciaires, contrairement à ce qu’on pouvait entendre dans les médias, plusieurs juges qualifiés voulaient enquêter sur l’assassinat de Jovenel Moïse. Mais ils n’ont pas été choisis.

À un moment donné, il était même question de constituer un collège de trois juges chargés du dossier. Mais cette idée n’a finalement pas été retenue par le doyen du tribunal de Première Instance. Ce qui est dommage, d’après des experts consultés par Ayibopost, car ce collège aurait eu l’avantage de « concentrer des compétences et de diminuer le risque de pressions politiques ».

houssainatou

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