C’est triste la mort, et plus cruel encore pour un père de perdre un fils qu’il porte dans son cœur et qu’il aurait souhaité voir lui survivre pour assurer sa continuité et celle de la famille.
Ce n’est le souhait de personne de conduire son enfant à sa dernière demeure. C’est un deuil qui ne finit pas, un malheur qui ne s’oublie pas, pour ainsi dire, cette peine-là reste le traumatisme de toute une vie.
Très peiné ce matin d’apprendre le décès du fils de Diallo Souleymane, un doyen d’âge et une icône dans le difficile et noble art du journalisme.
Je présente mes sincères condoléances à lui-même, à sa famille, à son groupe de presse ainsi qu’à la grande famille des professionnels des médias. Une femme, épouse, mère avec ses enfants est confrontée à un drame personnel et familial d’une violence et d’une brutalité indicibles.
Ma sympathie et ma solidarité vont à toutes les familles éplorées, proches et parents.
Une pensée émue et particulière à Diallo Souleymane dans l’épreuve qu’il traverse. Je ne doute pas qu’il aura le courage et la foi d’y faire face, comme il l’a réussi avec toutes celles qu’il a vécues et surmontées dans son exemplaire parcours.
Paix à l’âme du disparu !
Tibou Kamara