Mercredi 7 juillet, Donald Trump lance ces recours pour leur censure «illégale » à son encontre ainsi qu’à celle d’autres conservateurs, après que les géants des médias sociaux lui ont interdit de publier à la suite du mois de janvier suite à l’attaque contre le Capitole américain.
«Nous exigeons la fin de l’interdiction de l’ombre, l’arrêt du silence et l’arrêt de la liste noire, du bannissement et de l’annulation que vous savez si bien», a déclaré Donald Trump lors d’une apparition dans son complexe de golf à Bedminster, New Jersey, mercredi matin.
Il a rajouté: «Nous prouverons que cette censure est illégale, inconstitutionnelle et totalement anti-américaine».
Les actions sont soutenues par l’America First Policy Institute, dirigé par les anciens responsables de Donald Trump, Linda McMahon et Brooke Rollins qui ont présenté l’ancien président lors de l’annonce. Axios a d’abord signalé l’implication de l’AFPI.
Aucune des trois entreprises technologiques n’a fait de commentaire immédiat en réponse à l’annonce de Donald Trump.
Donald Trump est définitivement banni de Twitter et ne pourra pas revenir sur Facebook avant deux ans, rappelle NEWSMAX.